Pourquoi l’IoT ambiant connait un succès grandissant dans le retail ?  

 

‘‘ Les retailers ont une visibilité en temps réel de leur chaîne d’approvisionnement et des opérations en magasins ’’

 

Imaginez que vos produits puissent parler. Imaginez un monde où vous auriez des informations en temps réel sur eux : où se trouvent-ils actuellement ? Sont-ils transportés à la bonne température ? Sont-ils authentiques ? Sont-ils placés dans le bon rayon ? Sont-ils utilisés ?

Cette vision futuriste n'est pas un rêve lointain, mais une réalité révolutionnaire permise par Wiliot, le pionnier israélien qui, lors de la conférence NRF en janvier à New York, a volé la vedette avec sa plateforme de pointe alimentant l'Internet des Objets ambiant.

Wiliot est déjà utilisé par certaines des plus grandes marques, entreprises de la distribution alimentaire et groupes pharmaceutiques dans le monde. Les investisseurs de Wiliot sont tout aussi nombreux et comprennent Amazon, Verizon, NTT DoCoMo, Qualcomm, PepsiCo et Softbank.

Steve Statler, Chief Marketing Officer de Wiliot, nous dévoile des cas d'utilisation convaincants dans les domaines du retail, de la distribution alimentaire et de la mode, donnant un aperçu de cette nouvelle ère où nos produits parlent, et où nous écoutons.

 

CE QUE VOUS ALLEZ DÉCOUVRIR

  • Qu'est-ce que l'Internet des Objets (IoT) ambiant.

  • En quoi diffère-t-il de la RFID ?

  • Comment les retailers, la distribution alimentaire et la mode l'utilisent-ils ?

  • Quels sont les avantages pour les entreprises qui reçoivent ou livrent des colis ?

  • Quel retour sur investissement pouvez-vous en attendre ?

 

INTERVIEW

Laurence Faguer : Qu'est-ce que Wiliot ?


Steve Statler : Wiliot est une société spécialisée dans l'Internet des Objets (IoT) ambiant qui connecte les mondes numérique et physique à l'aide de Pixels IoT, des étiquettes intelligentes sans batterie qui transmettent des données dans le Cloud en temps réel, sans intervention humaine.

Soudain, ces Pixels IoT, qui agissent comme des autocollants Bluetooth de la taille d'un timbre-poste et coûtent quelques centimes, communiquent avec le Cloud de Wiliot, transformant les données collectées en un système d'information et de communication.

L’INTERNET DES OBJETS AMBIANT DANS LE RETAIL

Quels sont les secteurs qui peuvent bénéficier de cet écosystème IoT ambiant ?

Ces minuscules dispositifs informatiques sont utiles à presque toutes les industries, mais nous pensons que le retail, l'alimentation, l'habillement, l'emballage, les produits pharmaceutiques en sont les principaux bénéficiaires. Notre technologie leur offre des informations en temps réel sur l'emplacement des articles, les personnes qui les utilisent, la température environnante, le moment où ils doivent être réapprovisionnés, et bien d'autres choses encore.

 

L'internet des objets (IoT) n'est pas nouveau. Qu'est-ce que l'Internet des Objets ambiant apporte à l'équation ?

L'internet des Objets ambiant développe le concept initial de l'IoT, en “traquant” non seulement les objets d’un certain prix (voitures, réfrigérateurs, machines à laver, etc.), mais aussi tous les objets, aussi petit qu’il soit : vêtements, médicaments, épicerie, produits, etc. Nous pensons qu'il s'agira de l'une des plus grandes forces de rupture du 21e siècle.


Pourquoi les entreprises doivent-elles s'en préoccuper ? Elles ont déjà beaucoup de choses à gérer, le développement durable, l'inflation, ...

Ce dont nous parlons, c'est de l'unification et de la convergence de la capacité à voir " tout, partout, en même temps ", c'est-à-dire la visibilité en temps réel de la chaîne d'approvisionnement, de bout en bout. Les entreprises peuvent augmenter radicalement l'efficacité des chaînes d'approvisionnement et des opérations de leurs magasins - et pas seulement par une augmentation de cinq ou dix pour cent, mais doubler, tripler cette efficacité.

Cela va permettre de créer de nouveaux modèles d'entreprise, de nouveaux entrants dans le retail. À l'instar de la première vague disruptive de l'internet, l'achat en ligne, il faudra quelques années pour que toute cette ampleur se propage, mais très rapidement, elle commencera à avoir un impact sur le cours des actions des retailers et des fournisseurs de biens de consommation emballés.

 

N'est-ce pas perturbant pour le consommateur ?

Steve Statler : Au contraire ! L'IoT ambiant permet aux consommateurs d'avoir beaucoup plus de visibilité sur la chaîne d'approvisionnement. L'UE impose des règles concernant les passeports numériques pour les produits et l'IoT ambiant est l'un des moyens d'ancrer ces passeports dans le monde réel. 

Dans le secteur alimentaire, par exemple, le consommateur pourra voir l'exploitation agricole qui a produit les légumes et les fruits qu'il mange, comment la viande qu'il s'apprête à consommer a été traitée, si elle a été conservée à la bonne température, et il pourra connaître l'empreinte carbone d'une banane par rapport à une autre. Les consommateurs ont ainsi la possibilité de voter avec leur portefeuille et leur porte-monnaie pour un produit plutôt qu'un autre.

 

De nombreuses enseignes ont déjà investi dans la RFID. Quelle est la différence ?

L'IoT ambiant est la continuation. Il tire parti non seulement de la dernière technologie des puces de silicium, mais aussi il est né avec le Cloud et il s’appuie sur le smartphone, qui n'existait pas à l'époque où la RFID a vu le jour.


La RFID est une radio passive. Elle ne fait rien tant que vous ne faites rien. L'IoT ambiant récolte constamment de l'énergie et transmet des données au Cloud. Les employés ou les consommateurs n'ont donc rien à faire. Les lecteurs sont partout, les petites étiquettes sont sur tout et la communication est continue.

Cette évolution vers le " tout partout " tout en étant en ligne est un énorme changement et nécessite un ensemble de qualifications, de compétences et d'infrastructures. Les entreprises qui ont travaillé sur la première génération de RFID sont particulièrement bien préparées pour tirer parti de la nouvelle génération.

Pour aller plus loin

 

Qu'est-ce qui garantit la protection de la vie privée ?

Steve Statler : C'est là que le Cloud entre en jeu pour donner un sens à tout cela. La RFID ne disposait pas d'une protection de la vie privée intégrée parce qu'elle était considérée comme étant utilisée de manière isolée, peut-être au plus profond de la chaîne d'approvisionnement par quelqu'un disposant d'un scanner coûteux. 

L'IoT ambiant est présent du berceau à la tombe, de la ferme à la fourchette, par exemple dans les vêtements au fur et à mesure qu'ils sont fabriqués, distribués, vendus et revendus. Lorsque vous disposez d'une telle quantité de données et que vous avez quelque chose d’intime, vous devez garantir la confidentialité, la sécurité et le contrôle d'accès. C'est ce que propose l'IoT ambiant. Nos étiquettes sont dotées d'un cryptage AES 128 bits. C'est le même type de technologie que celle utilisée pour sécuriser vos achats en ligne.

 

NOTA : En février 2024, Wiliot a obtenu les certifications SOC (System and Organization Controls) 1 Type II et SOC 2 Type II, délivrés par les auditeurs indépendants d'Ernst & Young Global Limit.

 

RETOUR SUR INVESTISSEMENT (ROI)

Quels sont les résultats obtenus par vos clients grâce à la plateforme Wiliot ?

Ils ont la possibilité de réaliser des économies et de dégager du chiffre d’affaires. Le retour sur investissement pour nos clients tourne souvent autour de la valeur du client et sa durée de vie avec l’entreprise. Un envoi mal livré peut avoir un impact sur la durée de vie du client, et lorsqu'un produit n'est pas disponible, cela devient un problème de chiffre d’affaires. En outre, si un produit est endommagé ou gaspillé en raison d'une livraison incorrecte, qu'il s'agisse de fraises ou d'un canapé, il en résulte un problème de coût.

 

Quels sont les cas d'usage les plus évidents ?

L'IoT ambiant sera utilisé dans presque tous les secteurs, avec des milliers de cas d'utilisation. Mais c'est dans le retail, et plus particulièrement dans les produits alimentaires, la distribution alimentaire et dans la restauration rapide que l'on observe les premières vagues de transformation.

 

FMCG - DISTRIBUTION ALIMENTAIRE

Pourquoi ?

L'alimentaire est très concurrentielle, les marges sont très faibles et les attentes en matière de service sont très élevées. L'un des cas d'utilisation est donc la chaîne du froid.

Nous travaillons avec l'une des plus grandes enseignes au monde et le moteur de notre engagement est de lui permettre de s'adapter à l'omni-canal. C'est probablement le cas d'usage le plus fondamental et le plus puissant pour résoudre l'un des plus grands problèmes d'aujourd'hui.

 

Il y a tant d'étapes, de la " ferme à la fourchette ", comme on dit.

Steve Statler : C'est vrai. Et supposer que ce qui est envoyé à un magasin arrive effectivement à ce dernier est une erreur. En réalité, le produit peut être en transit, dans le fond du magasin ou à l'avant du magasin. Ce que nous faisons, c'est que nous donnons une visibilité précise sur l'endroit où se trouve le produit, de sorte qu'il n'est pas marqué comme étant disponible tant qu'il n'est pas sur l'étagère. Cela évite au client de voir en ligne un produit, qui en fait n’est pas en magasin, de se rendre au magasin et d'être déçu. Cela évite également les problèmes de préparation des commandes qui font perdre du temps aux employés lorsqu'ils ne trouvent pas le produit qu'ils sont censés préparer pour répondre à un ordre de livraison.

 

Voyez-vous d'autres exemples ?

Nous pouvons améliorer l'efficacité de la mise en rayon. Souvent, il y a du turn over et des emplois de courtes durées parmi le personnel des magasins. Si vous combinez Wiliot avec les nouvelles étiquettes électroniques qui sont mises en place sur les étagères, nous pouvons mettre en œuvre un cas d'utilisation appelé "stock to light". Par exemple, lorsqu'un employé prend une caisse de produits à stocker, comme un détergent, la lumière correspondante s'allume, aidant le nouvel employé à stocker le produit au bon endroit, réduisant ainsi les erreurs de stockage et les pertes de temps.

 

Vous aidez également les entreprises à assurer la traçabilité des aliments. De quelle manière ?

Pour en revenir aux passeports numériques des produits, une enseigne alimentaire peut collecter automatiquement et très efficacement les données relatives à l'origine d'un produit et à la durée de son transport. Si l'on prend l'exemple de la laitue, Wiliot permet de capturer et d'extraire les données sans effort de deux manières. Il capture les émissions des étiquettes à proximité, éliminant ainsi le besoin d'un travail manuel coûteux et sujet aux erreurs qui va de pair avec le scanning. Il détecte les stocks à proximité qui sont étiquetés avec des identifiants cryptés GS1 et alimente les outils de gestion des stocks.

 

Le Cloud reconnaît les émissions venant des étiquettes et affiche les passeports numériques des produits, comme celui créé par IBM et iFoodDS ou Trustwell FoodLogIQ pour suivre chaque caisse de laitue. Ce passeport contient des données complètes sur la traçabilité des aliments, ce qui permet aux utilisateurs de consulter les détails de l'inspection et les informations sur l'origine.

Si l’enseigne le souhaite, elle peut commencer à fournir ces informations supplémentaires aux consommateurs. Et comme l'emballage est équipé de la technologie Bluetooth, les consommateurs pourront à l'avenir consulter les passeports numériques des produits à la maison.

 

‘‘ Les clients bénéficient de l'expérience en ligne, tout en étant dans le magasin ’’

Parlons de la mode. Avec les ventes omnicanales, les marques et les enseignes de mode ne veulent pas être en rupture de stock et veulent s'assurer que les produits sont disponibles au bon endroit. En outre, de plus en plus d'entreprises se lancent dans la revente pour répondre aux préoccupations environnementales. Comment Wiliot peut-il les aider dans cette démarche ?


Les marques de vêtements sont confrontées au double défi de réduire les coûts pour concurrencer les boutiques en ligne et d'améliorer les services en magasin pour inciter les personnes à venir dans leur environnement de distribution en physique. Cela implique de réduire le temps passé par les vendeurs à chercher des tailles de vêtements et de se concentrer à nouer la relation avec le client, en racontant l'histoire du vêtement et en expliquant comment le porter et l'utiliser au mieux. Et la chaîne d'approvisionnement doit s'assurer que lorsque le client entre dans le magasin, la taille qu'il souhaite est disponible.

 

Grâce à nos passeports numériques pour les produits, les vendeurs des magasins peuvent voir sur une application mobile chaque vêtement unitaire, peut-être 20 000 en temps réel, et savoir s'ils se trouvent au fond du magasin, en rayon, peut-être dans le mauvais rayon, dans une cabine d'essayage, sur un mannequin.

Ils peuvent également procéder à des réapprovisionnements en temps réel, de sorte qu'au lieu d'avoir dix t-shirts noirs de taille moyenne, vous pouvez en avoir un ou deux, et chaque fois que le dernier disparaît, il peut être réapprovisionné.

 

Pouvez-vous nous donner un exemple ?

L'un de nos clients est spécialisé dans les vêtements de plein air, avec une grande variété. Son objectif était d’éviter aux personnes d’être submergés par le désordre dans le magasin. Nous avons rationalisé l'expérience, en transformant le magasin en show-room et en conciergerie. Les vendeurs du magasin et les clients disposent ainsi d'informations complètes en ligne pour une meilleure expérience en magasin. Ils bénéficient ainsi de l'expérience en ligne, mais en étant dans le magasin.

Cela permet également de développer le marché de l'occasion. Une enseigne du secteur de l’habillement peut créer, de manière très simple et standardisée, les actifs numériques qui permettent aux clients de revendre une veste, un manteau ou une robe qu'ils ont achetés. Les vêtements auront une valeur résiduelle parce qu'ils auront une identité et une trace de leur provenance.

J'ai entendu dire qu'un large éventail de cas d’usage concernait également l'emballage. Avez-vous un exemple ?

L'un de nos clients les plus estimés compte parmi les plus anciens services postaux du monde. Il nous a soumis un dossier stratégique solide avec un double objectif : réduire les coûts et générer des revenus. Dans le cadre d'une démarche novatrice, il a déployé trois millions de nos étiquettes sur des conteneurs roulants utilisés pour le transport de lettres et de colis, afin de répondre à la question suivante : les véhicules de livraison tournent-ils à plein régime, à moitié plein, ou autre ?

Il s'agit de passer à une gestion du rendement du système de transport et de logistique : potentiellement, moins de camions, moins de carburant, moins de coûts de main-d'œuvre pour acheminer les colis de A à B à C, en mettant en place des œuvres avec des lecteurs Wiliot qui coûtent 36 $ !



Et qu'en est-il de la génération de revenus ?

Le suivi des conteneurs roulants offre de nouvelles possibilités. La mise en place de lecteurs supplémentaires permet désormais de scanner les étiquettes des lettres et des colis individuels, ce qui fournit des données en temps réel et permet d'offrir des services supplémentaires.

Le défi consiste à déterminer l'emplacement optimal de ces technologies dans le paysage logistique complexe. Compte tenu des différents scénarios dans lesquels les enseignes peuvent utiliser leurs propres véhicules de livraison ou des services tiers, le cas d'utilisation des "articles en transit" est à la fois innovant et puissant. Toutefois, il est nécessaire de procéder à un examen minutieux pour identifier les cas de déploiement les plus efficaces, afin de garantir un impact et une innovation maximums dans le secteur de la logistique.

 

DÉMARQUE INCONNUE

 

La démarque inconnue a été l'une des préoccupations abordées lors de la conférence de la NRF en janvier. Selon les chiffres publiés par la National Retail Federation (NRF) en septembre 2023, le taux moyen de démarque inconnue pour 2022 aux Etats-Unis est passé à 1,6 %, contre 1,4 % l'année précédente, les vols externes et internes représentant 65 % de la démarque inconnue. Wiliot s'attaque-t-il à ce problème ?

Oui. Grâce à notre visibilité des stocks en temps réel, nous pouvons déterminer avec précision quand et comment les stocks disparaissent, ce qui permet d'obtenir des informations précises.  

 

Pouvez-vous nous donner un exemple ?

L'un de nos clients effectue des livraisons à domicile, et leurs matériels de transport réutilisables, les caisses et les emballages, étaient très beaux et très chers, et ... Ils étaient confrontés à un taux de disparition élevé de 90 % pour ces matériels de transport réutilisables. En incorporant nos tags, le taux de perte a été ramené à moins de 9 % du jour au lendemain.

 

Comment cela est-il possible ?

Les personnes savaient que l'entreprise pouvait suivre la disparition d'objets. Pour certains types de vols ou de pertes, savoir où sont localisés les articles s'avère très efficace.

Je voudrais ajouter que la National Retail Federation a publié des chiffres très alarmants sur la démarque inconnue, mais qu'elle a également constaté qu'une grande partie de ces chiffres n'étaient que des pertes. Nous pouvons être d’une extrême précision sur les mesures de sécurité et sur la responsabilité à avoir pour réduire les pertes. Ce que nous faisons également, c'est atténuer le coût des pertes. 

 

Qu'entendez-vous par là ?

Dans un grand magasin, quelqu'un vole toutes les robes rouges. Le responsable de cette catégorie d’articles peut alors dire : " Plus personne n'achète de robes rouges ". En fait, c'est parce qu'il n'y a pas de robes rouges à acheter. Nous pouvons donc repérer cela aussi.

 

COMMENT DÉMARRER ?

Quelle est la teneur de vos premières discussions avec une entreprise pour garantir le succès ?

Notre stratégie consiste à évaluer la valeur des projets potentiels par rapport à leur faisabilité et à leur séquençage. Face à la myriade de possibilités, nous identifions en priorité un cas d'usage avec un retour sur investissement (ROI) substantiel qui justifie une progression, ce qui nous permet de jeter les bases de notre vision.

Ce processus se déroule selon une approche en deux étapes : la validation du concept et le projet pilote. Nous proposons une solution packagée pour ces deux étapes. Pour la validation du concept, notre objectif est de démontrer la viabilité et l'efficacité de la technologie dans un délai court, généralement une semaine ou deux. Cette démonstration rapide est adaptée au cas d'usage spécifique, validant l'applicabilité de la technologie dans le monde réel.

 

Après la démonstration du concept, nous passons au projet pilote, qui peut s'étendre sur plusieurs mois.

Cette phase implique un déploiement circonscrit où la technologie est appliquée plus largement. Nous envisageons également des partenariats et tirons parti des relations existantes avec des interlocuteurs de confiance, tels que des partenaires RFID ou des experts en déploiement technologique qui comprennent les principes de l'identification automatique (auto-ID) et peuvent rapidement tirer parti de cette nouvelle génération de technologie.

 

 

Comment mes lecteurs peuvent-ils vous contacter ? 

 

Nous serions ravis de les rencontrer ! Ils peuvent nous contacter directement pour organiser une rencontre à l’adresse whitney@wiliot.com. Ou par votre intermédiaire ? Les personnes qui le veulent peuvent aussi indiquer leurs coordonnées sur notre page Contactez-nous.

Nous nous concentrons actuellement sur un nombre limité de projets avec les plus grandes marques, mais au fur et à mesure que nous recrutons d'autres partenaires, nous élargirons notre champ d'action et mettrons cette nouvelle vague de technologies IoT ambiantes à la disposition de tous.



Steve, thank  you! 

POUR ALLER PLUS LOIN :

Steve Statler sur Linkedin et son podcast “The Mister Beacon Podcast”

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